Poèmes de Margow

Bah ouais, par écris y a aussi les poèmes ! Je met en première le premier que j'ai fais... je l'ai retrouvé y a pas si longtemps que ça, je n'ai rien changé. Donc vous verrez au fur et à mesure que je me suis améliorée dans mes poèmes ^^

"Je suis désolé"
D'une voix ennuyée
Voilà ce qu'on me dit
Maintenant que tu es partit
Ils ont l'air de s'escuser
Mais ils sont bien guillerets
Quand je ne suis pas là
Pourquoi ne t'aiments-il pas ?
Toi qui aimait tant vivre
J'aurais tant aimé te suivre
Mais je n'aurai pas ce bonheur
Car quand ce sera pour moi l'heure
De partir loin d'ici
Je n'irais pas où tu gis

Je n'irai pas vers toi
Moi j'irai en bas
Car je n'ai pas ton rire
Ni ton sourire
Je n'ai pas ton bonheur
Rien que du malheur
Je n'ai eu que toi dans ma vie
Toi qui m'a acceuillie
Toi qui m'as tendue la main
Que j'ai empoignée presque malgré moi
Oubliant mon malheur
Je n'ai regardé que le bonheur
Qui souvrait à moi
Maintenant que tu étais là

Mais maintenant rayon de soleil
Tu es partis à mon reveil
Tu es partis
Au paradis

Voilà un nouveau poème de moi, je l'ai écris comme ça. Ce n'est en rien du vécut comme la plupart de mes écrits ^^ Il y a une répétition que j'ai noté ne vous inquiétez pas, ainsi que la dernière rîme qui est pas top top...

Ce jour-là il pleuvait
Où tu m'as dit que tu me quittais
J'ai beaucoup pleurée
Mais tu ne m'as pas consolée
Et tu es parti
Me laissant seule ici

Les jours ont passés
Mais je ne t'ai pas oublié
Je te vois tous les jours
Mais tu fais comme si ces jours
Où l'on s'était aimés
N'avait jamais existés

Alors j'ai décidé d'attendre
Avant que notre amour si tendre
S'enflamme à nouveau
Car en ces temps que l'ont croit beaux
L'amour est aussi éphémère
Que les fleurs du parterre

Et voici donc le dernier des poèmes du moment que j'ai fait pour le concours de mon collège l'année dernière, je n'ai pas été choisie mais j'ai quand même eu 18/20 Razz

L'autre

Nous ne connaissons pas son prénom.
Nous n'y avons pas fait attention.
Nous voulons juste qu'elle ne soit plus là,
Cette autre qui ne nous regarde même pas.

Nous nous sommes retournés à son arrivée,
Nous avons observé ses yeux inanimés.
Ces yeux qui ne voient jamais le jour,
Perdus dans le néant pour toujours.

Elle n'a jamais vut le ciel,
Ne connait pas le soleil,
Elle ne voit que l'obscurité,
En craignant de tomber.

Comment vivre sans ne jamais voir ?
Sans connaitre rien que le noir ?
Alors que sa vie aurait put être si belle,
Plus rien ne s'éclaire tout autour d'elle.

Reniée par ceux qui ont peur.
Personne ne voit sa douleur,
A travers ses yeux brisés,
Qui ont tellement pleurés.

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